L'appareil est basé sur l'emploi des anneaux à l'infini. La lunette visant à l'infini est munie d'un diaphragme très petit placé derrière l'oculaire ; celui-ci matérialise la pupille de sortie dont la lunette donne, localisée dans le plan de la lame à étudier,une image réelle deux fois plus petite ; tous les rayons parvenant dans l'œil proviennent de cette région de la lame, condition nécessaire pour l'observation d'anneaux à l'infini.
Fabricant : SECRÉTAN
2 : détail de l'occulaire
Documents liés : Revue d’Optique 6, 1927, page 482